La décroissance, une solution à la crise ?
Déc 2014
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En quoi consiste la théorie de la décroissance ?
Quels sont les arguments de ceux qui la soutiennent ?
20 commentaires
Très intéressant !
Benoit Choquet 23 décembre 2014« voire même »?
Philibert 8 janvier 2015Encore une faute!
Où voyez-vous une faute ?
sylvain 9 janvier 2015« voire même » – comme dire « monter en haut » – est un pléonasme
tom 7 septembre 2015Dire que c’est une faute est bien sévère !
Sylvain 8 septembre 2015L’expression « voire même », si elle est un pléonasme, est néanmoins tolérée par l’Académie Française depuis 1835.
Plusieurs articles sur le sujet :
Nos langues
Le Français Correct
Toujours aussi excellent comme d’habitude, merci pour toutes ces super vidéos 🙂 J’aime particulièrement celle-ci, la décroissance est vraiment la solution, mais comment arriver à la mettre en place!?
Jonathan 21 janvier 2015C’est joliment dessiné mais c’est presque tout pour le positif : c’est superficiel, réducteur et loin du projet socio-politique de la décroissance. Et je n’ai jamais entendu un seul objecteur de croissance dire : » Pour que ce modèle fonctionne, les décroissants soulignent qu’une coopération internationale est indispensable. » Je me demande comment vous avez pu produire ça en étant basé à Lyon, la ville de Paul Ariès et du journal La décroissance…
Francis Leboutte 20 avril 2015FL
Bonjour,
Nous ne faisons pas la promotion/publicité de la décroissance. Nous avons essayé d’en expliquer le concept au grand public.
Néanmoins, toutes les critiques sont intéressantes à entendre !
Vous pouvez bien sûr présenter ici vos arguments démontrant qu’une coopération internationale n’est pas nécessaire pour que le système de décroissance puisse se mettre en place durablement.
Sylvain
Sylvain 22 avril 2015La croissance du PIB traduit l’augmentation de l’efficacité de la société : plus d’activité grace aux améliorations apportées (constructions, réseaux, lois,…). La décroissance, à même population, c’est donc détruire… Car, à l’inverse, réduire le PIB en réduisant la consommation d’énergie, à même niveau de vie, c’est améliorer l’efficacité, d’où croissance…
Gullivez 14 mai 2015La croissance du PIB ne traduit pas forcément l’augmentation de l’efficacité elle peut également être due à l’augmentation des facteurs de production tels que le travail ( si les gens travaillent plus ).
jauffrey 12 novembre 2015De plus, augmenter la productivité ( efficacité ) peut être uniquement due à une meilleure gestion des facteurs de production par exemple moins de facteur travail ( moins de salaire ) pour un meme niveau de production et donc n’engendre pas forcément une augmentation de la valeur ajoutée et donc du PIB.
Le PIB n’est pas capable de mesurer l’amélioration de la productivité des travailleurs, il ne peut que mesurer une augmentation de la valeur ajoutée c’est à dire chiffre d’affaire – conso intermédiaire, ton raisonnement est donc erroné.
Le principe de la décroissance est de produire moins afin de moins gaspiller des ressources qui sont épuisables ce qui engendre une plus basse mais une plus intelligente consommation de la population et n’aboutit donc pas sur une baisse du niveau de vie mais sur une amélioration du ratio production/ consommation / niveau de vie / respect de l’environnement.
si vous parlez de réduire la production (PIB), cela entraînerait certains facteurs comme le travail de rester non utilisé, or c est le bien être de la population qu on cherche. cette partie de la population ne serait pas en mesure de consommer ce que produisent les entreprises, du coup un manque de gain pour ces dernières qui ne pourront pas a leur tour honorer des engagements vis a vis de leurs partenaires( Etat; personnel….) . De même la population qui n arrive pas a satisfaire son besoin ne serait pas en mesure de payer des taxes et impôts. du coup la décroissance aggraverait plutôt la crise.
Felix 26 janvier 2016Le décroissantisme est une philosophie établie sur les fondements théoriques de la décroissance économique.
Selon Jean-François Jaudon, cette philosophie contemporaine se définit par les trois postulats suivants :
– la spiritualité peut lutter contre le pire des écueils des sociétés de type occidental, le consumérisme,
– la recherche de solution politique aux problèmes écologiques a pour condition sine qua non la sortie de la société de consommation et de son corollaire, la croissance économique,
– l’intensité du désordre de la fin de la société de consommation sera inversement proportionnelle au niveau de prise de conscience par les citoyens de cette fin.
Le décroissantisme ou l’anticroissantisme constitue une véritable composante de l’altermondialisme.
Agnostique, Jean-François Jaudon, né le 14 mars 1970 à Grenoble (France), est ingénieur de formation. Il a étudié le processus de transition économique du système communiste au système capitaliste à Budapest – Hongrie – après la chute du Mur de Berlin et a obtenu un diplôme de Mastère sur la transition économique. Il est l’initiateur de cette philosophie.
Il est convaincu que les économies de type occidental entreront dans une économie de sobriété du fait de la rareté physique des énergies fossiles et ce , pour trois raisons :
– en effet, les énergies fossiles sont non renouvelables à l’échelle humaine,
– elles sont consommées par de plus en plus de sociétés,
– 80 % de l’énergie utilisée dans le monde est de l’énergie fossile.
D’autre part, l’économie de sobriété est salvatrice pour l’environnement. On parle pour utiliser un vocabulaire anthropologique de l’homofrugalis par opposition à l’homoconsuméris.
Un exemple : l’Europe.
Son empreinte écologique actuelle est deux fois supérieure à la moyenne admissible par la Terre. L’Europe dispose de technologies pour diminuer son empreinte écologique, mais dans des proportions plus modestes. La technologie n’est pas la solution aux problèmes écologiques : seule l’économie de sobriété est une solution. Cette société de sobriété sera marquée par la reconnaissance de l’initiative individuelle, notamment par le microcrédit, dans l’économie et la reconnaissance du collectif dans l’urbanisme et les transports.
La transition de la société de consommation à une économie de sobriété passera par une période de décroissance. Son expérience de la transition économique dans les pays d’Europe Orientale lui a montré que pour éviter l’anomie lors de cette transition, les responsables politiques doivent planifier la décroissance économique, en faisant notamment prendre conscience aux citoyens de la finitude de la société de consommation.
Enfin, il soutient la candidature de listes favorables à la décroissance pour les élections européennes de 2009 .
Le décroissantisme ou anticroissantisme fait face à l’idéologie dominante de la croissance économique, appelée croissantisme, et se situe dans la tradition des philosophies orientales fondées sur l’être et non sur l’avoir.
Il ne faut pas confondre décroissance et récession : la décroissance doit être planifiée alors que la récession est un cycle du capitalisme.
Au-delà de la remise en cause de la croissance dans les pays riches, le décroissantisme est favorable à une prise de conscience par les citoyens des conséquences écologiques désastreuses et de la finitude de la société de consommation.
Dans son livre Microcrédit et Maxiconso, Jean-François Jaudon parle de macro consommation.
Cette philosophie reconnait l’empreinte écologique par habitant comme indicateur principal de développement d’un pays, prônant la croissance économique pour les pays dont l’empreinte écologique est inférieure à celle admissible par la Terre, et la décroissance économique pour les pays dont l’empreinte écologique est supérieure, sachant que le problème de l’effet de serre est lié au modèle économique occidental.
L’empreinte écologique est un indicateur multidimensionnel : on parle de l’empreinte écologique d’un habitant, d’une ville, d’un pays, d’un continent.
Le décroissantisme est favorable à la croissance économique des pays pauvres : Jean-François Jaudon évoque le paradoxe du décroissantisme.
En tout état de cause, la technologie n’est pas une solution aux problèmes écologiques, en reconnaissant qu’elle peut diminuer l’empreinte écologique de certains pays dans des proportions sans commune mesure avec la problématique écologique, qui nécessite une baisse massive de l’empreinte écologique mondiale.
Enfin, la légitimité donnée à la croissance économique dans les pays riches pour sortir de la pauvreté est un leurre : la sortie de la pauvreté dans les pays riches est une question de justice sociale et non de croissance économique.
Dans un article du journal Politis n°1022 du 16 octobre 2008, Jean-François Jaudon, initiateur de cette philosophie, a parlé du décroissantisme comme suit :
« la notion de décroissance est indissociable de la notion d’empreinte écologique. L’empreinte écologique est la part d’écosystème nécessaire au mode de vie d’un être humain. Ainsi, selon Serge Latouche, il faudrait l’équivalent de 8 écosystèmes planétaires si tous les êtres humains vivaient comme des Américains. Toujours selon Latouche, la Terre peut supporter ses hôtes à condition qu’ils vivent comme des Français dans les années 1960. C’est un indicateur intéressant. En tant que décroissantiste, je suis pour la croissance des économies du Burkina, du Vietnam, […], car ces pays ont une empreinte écologique inférieure à la moyenne admissible par la Terre. Je suis pour la décroissance des économies américaine, française, allemande, car ces pays ont une empreinte écologique supérieure à la même moyenne. Ces affirmations font partie de la philosophie décroissantiste. Le problème de l’éco-croissance est qu’elle ne remet pas en cause la société de consommation en mettant en exergue le développement durable (par exemple, les 4X4 avec moteur peu émetteur de CO2, autoroute avec crapauducs, etc.). La décroissance, elle, remet en cause le toujours plus vite, le toujours plus. Les êtres humains font ce qu’on leur a inculqué dans leur imaginaire : consommer plus, c’est « bon pour l’emploi ». […] Si, demain, les êtres humains des sociétés de consommation comprennent que la décroissance est nécessaire pour la sauvegarde de l’environnement et donc pour le monde de leurs enfants, ils feront des efforts. Serge Latouche parle de « décolonisation de l’imaginaire ». De toute façon, avec la pénurie de pétrole (80 % de l’énergie utilisée mondialement est fossile), les économies occidentales entreront en décroissance. Si les habitants en prennent conscience, le choc sera moins rude. Si nombre de pays ne « décollent » pas économiquement [ et donc, ne rentrent pas dans ce cycle de la croissance et dans le modèle de société de consommation ], l’aspect culturel est très important. La notion de croissance des économies est très nouvelle (apparue au XIXe siècle). Durant des milliers d’années, les pays ont vécu sans croissance. »
Jaudon 25 avril 2018Il me semble que la production de richesses correspond de moins en moins a une production matérielle qui épuise des resources naturelles mais elle correspond d’avantage avec le temps a une production de savoir de service de bien immatériel… (qui favorise la pérennité de l’espèce humaine)
Donc je ne pense pas que la décroissance soit la solution. Une solution au problème de l’épuisement de ressources est tout simplement une législation internationale comme indiquer dans la vidéo mais qui ne prônerais pas la décroissance totale mais une utilisation résoner des ressource vitale car le fait qu’il n’y est plus de pétrole ne constitue pas une raison d’une crise politique et économique l’homme est en train de s’ adapter est créant des savoirs des entreprise: des richesses qui permettent une transformation il ne fauterais pas l’en empêcher en prônant une décroissance totale au quel cas on pourrais attendre des réformes(empêcher la croissance des entreprise d’énergie électrique par exemple) exactement l’effet que l’on chercher a éviter. Les mesure internationale pourrais légiférer sur la question de l’eau par exemple car la science est loin de pouvoir la remplacer et la question écologique (a savoir le réchauffement climatique),qui est un véritable problème scientifique et non des supposions de personnes prônant une décroissance globale
En conclusion la décroissance correspondrais selon moi a une limitation de l’intelligence et de la création humaine qui motive les génération et qui nous a conduis a ces technologies inimaginables il y a 100 ans .
En démotivant les hommes qui c’est quel pourrais être l’avenir…
Petite précision le faite de « partager » le travail en diminuant le temps de travail de chacun est une contre vérité économique.
Antoine 1 mai 2018Dans un monde ou les ressources sont limitées et nous en avons la certitude le modèles economiques, financiers et comptables sont obsolètes.
Pourquoi, parce que les lois et règles économiques qui régissent les individus actuellement ont été établies à une époque ou l’on croyait que les ressources étaient illimitées.
La « croissance » actuelle résulte de la capacité que nous avons à consommer de l’energie et non l’inverse.
Les facteurs limitants à notre croissance sont le climat, la pollution et le stock d’energie fossile.
Il est illusoire de penser que les energies « renouvelables » sont l’avenir car elles sont des energies du passé utilisées il y a deja des milliers d’années. Impossible techniquement de faire en sorte d’assurer notre niveau actuel de consommation d’energie en remplacant par l’electrique, l’eolien, etc…; Les couts energétiques et financiers pour la mise en place de ces solutions seront supérieures à ceux pour l’utilisation des energies fossiles.
Le seul degré de liberté est de baisser nos consommations energetiques (energie grise, transports, etc…) donc notre niveau de vie
Boilot Yannick 26 octobre 2018Ma décroissance à moi passe par la fréquentation des circuits courts, le jardinage et la confection de mes plats cuisinés en matière alimentaire. J’ingurgite le minimum de E… et d’huile de palme présents dans tout l’agroalimentaire diffusé en grande surface, préserve ma santé et fais vivre ceux qui travaillent localement, pas les financiers qui n’ont pas fait grand chose. (Ma maraichère m’expliquait qu’elle avait fini de livrer des salades 0,1€ à la grande surface locale). Pas plus cher au niveau du rapport qualité/prix. Qualité de vie préservée. J’éradique tous les plastiques que je peux au profit du verre. Je fais mes sacs en tissu pour économiser le papier qui ne sert qu’une fois, descends en ville par le tram, du coup je ne paie pas de stationnement et la pièce que je mets, à la place dans une tirelire, me paie mon réveillon de nouvel an. Naturellement j’ai une activité physique d’autant plus importante que j’utilise moins la voiture, et conserve une santé de fer; je me suis donc fait ma propre mutuelle, il y a une bonne quinzaine d’années en mettant l’équivalent sur un compte. Ce sera tout pour 2018…
Qualoryfaire? 15 décembre 2018Vous savez que, nous sommes aujourd’hui à la porte d’une nouvelle crise, et que les crises ont leur source dans une cause unique et en donnant la priorité au bénéfice à court terme sur les enjeux du long terme.
Selon nos économistes, nous aurons une crise pas que financière mais économique, social, politique, géopolitique, technologique, idéologique et écologique. Ces crises risquent de s’enchainer les une avec les autres.
Je crois que si nous devons revoir le social combattre la dette ou le chômage, on est obligé d’augmenter la croissance du PIB. Ce qui aggravera la crise écologique donc en doit résoudre cette crise écologique par la DECROISSANCE. Qui vas aggraver la crise financière, économique et politique.
La décroissance ne suffit pas en limitant la consommation mais en changeant la nature de celle-ci, en modifiant le rapport au temps et l’espace.
Ma question : Est-ce une utopie de penser que la décroissance sera comprise et acceptée par une majorité? Michel Rocard disait à l’époque » La décroissance nous conduirait tout droit à la guerre civil » ,Je partage cette phrase ( voir aujourd’hui les gilets jaunes) , j’ajoute et je crois que aujourd’hui nous sommes dans croissance artificielle, nous finançons les importations, sans se soucier de leur financement et en Europe en particulier, certains économistes disent , Cette politique nous semble un grand succès. OUI, mais elles est au contraire a ce que nous en enseigné sur la théorie économique classique.
Les dettes publiques augmentent de tous ces grands géants d’économie et des finances sans contrôle ni des reformes, Les dettes à bon marché incitent les gouvernements, les ménages ainsi les entreprises à s’endetter davantage, et non a se reformer. Certaines entreprises cotées dans l’économie par exemple des entreprises de distractions (qui amuse les citoyens pour oublier leurs misères) ont déjà perdu une part de leur valeur de 20%.
Questions:
-Pourrons nous retarder la crise?
Il ne faut pas oublier les crises précédentes 1907, celle 2007. Eternel recommencement. 2éme guerre mondiale, le succès des états totalitaires (dictatures) 1922 l’Italie, en 1924 URSS et enfin en 1934 l’Allemagne. Selon le sondage 70 millions de morts.
-Comment peut on éviter le déclenchement de la future crise ? Peut -être s’inspirer des crises des années passées.
-Est-ce que le nationalisme et le protectionnisme économique, financier, politique, écologique et idéologique d’aujourd’hui, de certains pays jouera et aggravera la crise ?
N.B QUE L’ENDETTEMNT MONDIAL DES ENTREPRISE A QUASIMENT TRIPLE DEPUIS 2007 (Suivant certains analystes).
saadallah 17 décembre 2018C’est un avis à raison ou à tord, je peux aussi me mettre en erreur
J’ai aussi des avis sur l’économie Américaine, chinoise et japonaise, ces pays ne savent pas et non pas dans leur dictionnaire la définition de la DECROISSANCE, il suffit juste d’observer les différentes visites entre les présidents chinois, américain et japonais et vous comprenez bien leur démarches contre l’économie Européenne et contre l’écologie(j’appellerai le protectionnisme à trois) pas de reforme, les endettements de ces 3 états et de citoyens plus élevé. Aujourd’hui la Dette publique japonaise est de 250% du PIB. La chine son endettement public aujourd’hui est de 295% du PIB contre 71% en 2007.Amerique la dette publics atteint 108% mais sans prendre en compte les reformes fiscale qui vas faire baisser les recettes de l’état estimée à 1500milliard de dollars sur les dix ans années prochaines.
En Europe la situation n’est pas meilleur : La dette MOYENNE publique représente +- 87% du PIB de la zone Euro.
Seuls pays en Europe qui tiennent le chemin durable de réduction de sa dette c’est l’Allemagne avec l’Estonie par contre la dette Italienne est +- 132% du PIB avec une charge des intérêts de la dette y représentait 3.8% du PIB contre moyenne de la zone Européenne 2% – Je crois aussi l’immigration des pays pauvres risquera de mettre l’Italie dans une situation ou il peut faire déclencher la crise Européenne voir la dissolution de l’Europe N-B Brexit . ATTENTION un citoyen qui s’exprime avec une l’ornière. Alors c’est la grande catastrophe mondiale.
Le sujet est ici, aussi, l’écologie humaine. Quel rapport avons nous face à ce que nous devenons par l’essor technologique et économique. Ne pouvons nous pas voir la similitude entre ce que la consommation produit comme déchets et ce qu’elle laisse dans notre psyché.
graindorge 5 juin 2019Des solutions décroissantes et pérennes sont imaginables mais l’influence d’un système établi selon une pensé unique et culturelle nous éloigne des possibles.
Il est, de plus, évident que la croissance démographique mondiale et la nécessitée pour certain peuple de migrer dans des pays moins impactés par les catastrophes climatiques à venir va légitimer la production et la consommation à des niveaux supérieurs à ce qu’elles sont.
Souhaitons juste que nos enfants s’adaptent au nouveau monde.
Prof de FLE en Espagne au niveau B2, j’apprecie beaucoup vos vidéos qui sont une manière très au goût de mes élèves ( des adultes pour la plupart) pour entamer un débat à partir d’un thème d’actualité en rapport avec notre programme.
Je tenais à vous le faire savoir, voyant les commentaires pas toujours très positifs qui pontuent cette vidéo.
Encore bravo pour rendre facile et ludique des sujets aussi vastes!
Bouvier Larrazet, Sophie 26 mars 2019Quels sont les aspects négatifs de la décroissance ?
Brahim Bendris 26 janvier 2020Qu’est ce qui manque a l’économie mondiale/européenne/française pour atteindre la décroissance ?
Je m’agacerai toujours à propos des « instituteurs » ou « institutrices » qui iront donner des leçons de français plutôt que de montrer vraiment leur intérêt au sujet débattu. Idem pour le fautes de frappe Un message internet n’est pas une dissertation! Le courriel remplace (malheureusement je l’admet) une conversation orale. Dés le début des courriels, il a été admis qu’on avait le droit de faire des fautes. Alors, au sujet s.v.p.!
Gérard Blanc 2 janvier 2021